New's "psy" et "manager" :
La lettre du management
J.L.B.Infos
Sur l'épanouïssement personnel : 7 pistes pour ne pas se rendre malheureux
et faire partager cela autour de soi
Se gâcher la vie, c'est aussi gâcher la vie de son entourage, qu'il soit professionnel ou privé.
Voici quelques pistes :
1 - Voir positif :
"être heureux, c'est y mettre du sien", il faut avoir une capacité à se sentir bien.
2 - Prendre soi de soi, surtout lorsqu'on ne va pas bien :
"avoir des activités agréables n'est pas de nous rendre heureux, mais d'empêcher le mal-être de s'aggraver ou de s'installer" : la plupart des anxieux et des déprimés font l'inverse.
3 - Eviter le sentiment malheureux:
Les émotions négatives perturbent notre quotidien... et le malheur se nourrit de lui-même. "Plus on s'y laisse aller, plus on en prolonge la durée"
4 - Eviter le perfectionnisme et l'obsession du bien-être :
"Sans ce mot-là, on dormirait plus tranquille et on vivrait à l'aise", écrivait Flaubert en parlant du mot bonheur. Sans le prendre à la lettre, il faut relativiser !
5 - Face aux soucis, il faut réfléchir mais ne pas ruminer :
"L'un des objectifs est d'amener les personnes à considérer leurs malheurs comme des problèmes à résoudre eet non comme des malédictions", il faut éviter l'anxiété, d'avoir des tracas en tête... Techniques cognitives de Socrate utilisées également dans le management permettant de transformer les contraintes profesionnelles en resources.
6 - Eviter de nourrier des émotions hostiles :
"le plus souvent elles prospèrent car nous privilégions notre besoin d'avoir raison", il faut éviter le regard critique ou cynique sur le monde et être plus bienveillant.
7 - Savourer les moments de bien-être :
"profiter des bons moments de l'existance est la meilleure arme contre le malheur", il faut agir avant de connaître l'adversité.
(Source Psychologies Nov. 2002)
Vivre le changement - Optimiser ses résultats : Le coaching
Le coaching peut vous aider comme facilitateur, aide au management et à la conduite des objectifs.
Le coaching est à la mode mais pas seulement cela. C'est une fonction de conseil qui parait nécessaire dans cette période économique ou les mutations technologiques vont à un cours supérieur à celui de la révolution industrielle connue au siècle dernier.
C'est une méthode d'analyse qui permet de surmonter les difficultés et d'atteindre les objectifs en tenant compte du facteur le plus sensible : L'humain ! Le management a longtemps été celui de cadres techniciens ou autodidactes non formés à la psychologie. Pourtant c'est un critère dont on ne peut faire abstraction plus longtemps dans une société en pleine mutation où les progrès technologiques remettent en cause les organisations.
Quelques conseils de professionnels sur différents partenaires de formation permettent de recenser les mêmes exigences et besoins :
1 - La définition des objectifs Souvent mal cernés, exagérés, multiples, les résultats tardent à venir. Les objectifs doivent être clairs et précis, connus voir ambitieux avec une définition de stratégie pour y arriver.
2 - La stratégie doit être réaliste et visualisable : Tableaux de bord de suivis (et pas seulement de résultats bruts dont on ne perçoit pas l'évolution), chemins définis (manuel de procédure permettant un contrôle interne). La projection de faisabilité et de déploiement doit être convaincante et assurée dans sa cohésion (tenir compte des obstacles). Les plans d'action doivent tenir compte de l'ensemble (circuit de travail, méthodologie) ; la gestion du risque doit être développée avec l'encadrement avec une analyse des freins et obstacles).
3 - La tactique (il vient surtout d'une culture d'entreprise d'accompagnement, participation aux résultats...).Désormais, il semble qu'un grand nombre de salariés mettent aux tous premiers plans les conditions de travail dans les critères de bon fonctionnement de l'entreprise et de satisfaction personnelle, juste après les conditions financières, ce qui n'était pas forcément mis en avant dans beaucoup d'endroits jusqu'à présent. Le phénomène n'est pas nouveau mais s'accroit.
4 - Le timing est à préciser avec rigueur avec une marge de manoeuvre dans le temps permettant de finir à temps en tenant compte d'imprévisions éventuelles fonction de la branche d'activité. La planification accompagne la chronologie, un chemin de fer, des outils de gestion du temps sont à mettre en place pour arriver à terme. La division par étape est conseillée pour faire des bilans intermédiaires et recadrages en fonction des imprévus (retards, évolutions, concurrences...).
C'est dans toutes ces étapes que l'accompagnement d'un professionnel, d'un conseil extérieur, peut être bénéfique à moins qu'il ne puisse être développé en interne à condition de vérifier les conditions de médiation, neutralité et efficacité : Difficile si le meneur de projet est lui-même l'accompagnant ou le facilitateur.